recrutement d'un Technicien en dessin de batiment

  • Royaume du Maroc
  • Ministère de l'Intérieur
  • Province de Tata
  • Cercle d'Akka
  • Annexe d'Ait Ouabelli
  • C.R. Kasbat Sidi Abdellah Ben M'Barek

Avis de concours de recrutement d'un Technicien 4ème Catégorie, Echelle 08

La Commune Rurale de Kasbat Sidi Abdellah Ben M'Barek organise le 14 avril 2011 à 10 h 00 du matin au siège de la commune un concours pour recrutement d'un Technicien 4ème Catégorie, Échelle 08 (01 poste).

Conditions de participation au concours :

  • Etre de nationalité marocaine.
  • Âgé de moins 18 ans et au plus 40 ans jusqu'à la date du concours.
  • Etre titulaire d'une attestation de formation professionnelle niveau technicien ou diplôme équivalent dans la spécialité suivante : Technicien en Dessin de Bâtiment

Dossier de candidature :

  • Demande manuscrite ,
  • Un extrait d'acte de naissance ,
  • Une photocopie de la carte d'identité nationale (C.I.N) légalisée ,
  • Une photocopie de diplôme demandé légalisé ,
  • Deux 02 photos d'identité récentes ,
  • Deux 02 enveloppes timbrées portant le nom et l'adresse du candidat.

Le dernier délai de dépôt des demandes de participation est le : 07 avril 2011.

Les demandes doivent être envoyées à Mr le Président de la Commune Rurale de Kasbat Sidi Abdellah Ben M'Barek, Province TATA ou déposées directement au bureau de la commune (Service personnel).

Croissance, emploi, déficit, état de l'économie... le ministre des finances en parle

Désaccord entre les Finances et le HCP sur la croissance agricole. La croissance crée de moins en moins d’emplois. 30 000 en moyenne par point de PIB contre 50 000 sur la décennie 90. Selon Salaheddine Mezouar, la régionalisation apporterait 1,5 à 2 points de croissance supplémentaires.

Croissance, emploi, déficit, état de l'économie... le ministre des finances en parle

On comprend maintenant pourquoi le ministère des finances a tardé à livrer les résultats de l’exécution du Budget 2010 : les recettes fiscales étaient prêtes depuis janvier, les dépenses depuis février, mais il fallait connaître le niveau de croissance pour pouvoir calculer le déficit. Et là, on apprend du ministre des finances, Salaheddine Mezouar, invité de La Vie éco jeudi 17 mars, que son département et le Haut commissariat au plan (HCP) n’étaient pas tout à fait d’accord sur le calcul du PIB agricole. Pour les Finances, la baisse de la valeur ajoutée agricole devrait se situer à 5,2%, alors que, pour le HCP, ce recul serait de 7,1%. Du coup, le PIB global de 2010, estimé par le HCP à 3,3%, monterait à 4% pour le ministère des finances.
Bien évidemment, le déficit budgétaire change un tout petit peu selon que le PIB ait progressé de 4% ou de 3,3%; le 0,7 point de différence entre les deux estimations représentant tout de même plus de 5 milliards de DH.
En réalité, qu’ils soient du HCP ou des Finances, ces chiffres ne sont pour le moment que des estimations. C’est seulement en juin prochain, quand seront arrêtés officiellement les comptes nationaux, que l’on aura les données réelles sur la croissance en 2010 et, donc, sur le déficit. Et encore, il s’agira de comptes semi définitifs.
Mais en toute hypothèse, la croissance en 2010, que l’on situera provisoirement entre 3,3% et 4%, n’est pas si mal que cela, eu égard, d’une part, au contexte de crise qui a perduré et qui perdure encore, et, d’autre part, au dénominateur : 4,9% en 2009. Et même en 2008, la progression du PIB avait été assez importante (+ 5,6%).

Il faut un taux de croissance régulier de 6% pour faire baisser le chômage

Mais le plus important est que la croissance hors agricole est de retour : 5% en 2010, après 1,3% en 2009. Et sur ce point, les Finances et le HCP sont d’accord. Pour M. Mezouar, au-delà de la contre-performance du secteur primaire, la bonne nouvelle c’est précisément le bon comportement des activités non agricoles qui renouent, ce faisant, avec le palier de croissance (5% et plus) sur lequel elles se situaient depuis 2004. Et pour 2011, ce rythme devrait être maintenu : 5% pour le PIB non agricole et 4,6% pour le PIB global, selon le HCP. Le ministère des finances estime, lui, le PIB global à 5%, ce qui devrait permettre de ramener le déficit à 3,5%. Salaheddine Mezouar a d’ailleurs maintenu, jeudi au dîner-débat de La Vie éco, sa prévision de déficit pour 2011, en dépit de l’augmentation (pour le moment...virtuelle) des charges de compensation : avec les 15 milliards de DH supplémentaires alloués, théoriquement, au budget de compensation, celui-ci atteindra (théoriquement) 32 milliards de DH.
Et si le ministre des finances maintient sa prévision de déficit, c’est parce que, a-t-il déclaré, les 15 milliards supplémentaires, si jamais ils sont réellement consommés, seront financés, d’une part, par des économies à réaliser sur les dépenses de l’administration en biens et services (comme en 2010), et, d’autre part, par un surcroît de recettes fiscales que l’on est à peu près sûr d’engranger à la fin de l’exercice. M.Mezouar en a d’ailleurs profité pour appeler les contribuables, notamment les entreprises, à mesurer les impératifs de la conjoncture en s’acquittant correctement de leurs obligations.
C’est le rôle d’un ministre des finances d’être optimiste. On peut juste se demander si ce qui a été possible en 2010 (une plus-value fiscale de 9 milliards de DH et une économie sur dépenses de 8,4 milliards) le sera forcément en 2011. Tout est évidemment possible.
Reste l’inconnue que représentent les cours des matières premières. Là encore, le ministre, se basant sur les estimations des experts, pense que le prix moyen du baril de pétrole pour l’ensemble de l’année 2010, se situerait à 89 dollars, soit 14 dollars de plus que la prévision retenue dans la Loi de finances (qui était de 75 dollars).
Au-delà des prévisions et des chiffres, il a confirmé jeudi soir un constat relativement ancien : la croissance au Maroc crée de moins en moins d’emplois (pour des raisons liées, entre autres, à la hausse de la productivité) : 30 000 emplois par point de croissance aujourd’hui, au lieu de 50 000 auparavant. Et c’est pour cette raison, dira-t-il, que le chômage des jeunes, en particulier, reste à un niveau assez élevé (autour de 18/19%). Salaheddine Mezouar pense que pour améliorer les indicateurs du chômage, il faudra nécessairement une croissance de 6% et qui soit plus ou moins pérenne. Et pour lui, la régionalisation constitue justement une opportunité dans ce sens: elle apporterait entre 1,5 et 2 points de croissance supplémentaires.
En attendant, et à la suite des manifestations du mouvement du 20 Février, le patronat et le gouvernement se sont engagés dans une sorte de partenariat en faveur de l’emploi : l’entreprise assurera la formation des candidats afin d’adapter leur profil à l’activité exercée, et l’Etat prendra en charge le coût de cette formation. «Mais cette prise en charge est tributaire de l’engagement ferme de l’entreprise à recruter à l’issue de la formation», a précisé le ministre de l’économie et des finances.
Il faut rappeler ici qu’il existe déjà pas mal de dispositifs pour encourager le recrutement, en particulier le contrat-insertion qui bénéficie justement du soutien de l’Etat (déductions des charges sociales et fiscales). Il serait intéressant de faire le bilan des mesures déjà mises en place avant d’en développer d’autres.

Retards : La réforme de la CMR en 2012

La réforme des régimes de retraite est promise depuis longtemps déjà, des études actuarielles ont été réalisées, et cependant elle tarde à voir le jour. Jeudi soir, Salaheddine Mezouar s’est exprimé sur le sujet en estimant qu’il est inconcevable que la réforme de la Caisse marocaine des retraites (CMR) ne démarre pas en 2012.
Selon des scénarios réalisés, cette caisse publique, qui avait souffert des retards dans le paiement de la part patronale, celle de l’Etat justement, devrait connaître ses premiers déficits... en 2013.

N.T. La Vie éco
www.lavieeco.com

2011-03-30

BMCE lance un nouveau concept d'agences (signé par le cabinet d’architecture Foster and Partners)

Casablanca, BD Khattabi

  • Le groupe a inauguré la première à Casablanca
  • D’autres vont suivre à Rabat et Fès
  • Une architecture innovante

La première a d’ailleurs été inaugurée, jeudi dernier, à Casablanca, en présence de Othman Benjelloun, qui a participé personnellement à la conception de cette nouvelle représentation, aux côtés de Lord Foster, le fondateur du cabinet d’architectes. Ce nouveau concept d’agences se veut être une vitrine régionale pour Associé au cabinet d’architecte britannique, Foster & Partners, le groupe BMCE vient de lancer un nouveau concept d’agences.

En Inspiré du modèle du Ryad ancestral, l’espace intérieur est dédié au client, principalement des particuliers et professionnels haut de gamme. attendant, après l’ouverture de celle du Val d’Anfa à Casablanca, deux autres sont au programme dans les semaines à venir à Rabat et Fès. A terme, il s’agira d’en ouvrir une douzaine. «En présentant pour nos agences une architecture inédite au Maroc et dans le monde, nous traçons la voie à ce que doit être un lieu d’accueil, de rencontre et de conseil, à la fois chaleureux et professionnel», indique Othman Benjelloun. Ces agences dernière génération allient tradition et technologie autour d’un concept architectural unique. Elles revisitent les composantes du patrimoine architectural marocain en les associant à des éléments d’aménagement contemporains.

Les architectes ont utilisé des motifs et des matériaux qui valorisent «les dimensions, la luminosité ainsi que le confort thermique fondé sur une technologie éco-responsable». Surmontés d’un dôme en tadelakt et zelliges blancs, les bâtiments sont entourés de baies vitrées, filtrées par un épais moucharabieh en inox. Celui-ci est sculpté d’arabesques reprenant un motif islamique. A l’intérieur de l’agence, l’organisation des espaces permet d’offrir, en plus des prestations de base de la banque, des services personnalisés en matière de gestion de compte pour particuliers ou professionnels, ainsi qu’un accompagnement en conseils.

M. A. B.

Source: l'économiste.com

Une formation pour booster sa mémoire

© Kelformation - Séverine Dégallaix Paru le 20.09.2010

Impossible de remettre un nom sur un visage, difficile de ne pas regarder vos notes pendant un discours, bref votre mémoire n'est pas au top. Malgré ce que vous croyez, ce n'est pas une fatalité... Des formations existent et peuvent vous aider.

La mémoire n'est pas un don inné, ça se travaille. C'est vrai que certaines personnes ont des facilités mais si vous ne faites pas partie de ceux-là, tout n'est pas perdu. Des formations peuvent vous aider à améliorer vos capacités que ce soit pour la mémoire visuelle, la mémoire auditive...

La mémoire des noms

« De nombreuses personnes s'adressent à nous parce qu'elles estiment ne pas avoir la mémoire des noms. C'est l'un des thèmes les plus vendeurs », explique Maurice Tardif, responsable de la formation "Développer votre mémoire" chez Orsys. Or, se souvenir des patronymes est un atout indispensable dans de nombreux domaines : communication, vente, management, ou encore politique, en bref tout ce qui exige un minimum de relationnel.

Le principe de base de la méthode peut paraître simple : « il suffit de décider de se souvenir des noms. » Dans les faits, cela demande de la pratique. Par exemple, l'une des astuces consiste à répéter le nom de la personne dans une conversation, ou encore « à l'imaginer en train d'épeler son nom à l'aide d'un rébus ». C'est pourquoi la formation se base principalement sur les exercices. « Contrairement aux autres stages, dans celui-ci, j'estime que plus il y a de monde, mieux c'est : quand trente personnes arrivent à se souvenir du nom de chacun en moins de deux heures, c'est la preuve que la méthode est efficace. »


Techniques d'entraînement pour votre mémoire


Reste ensuite à enchaîner sur les autres thèmes. Parmi les plus demandés : ne rien oublier dans une journée, retenir un numéro de téléphone, prononcer un discours sans notes... « Dans tous les cas, la technique consiste à faire jouer au maximum le visuel et à faire des associations. Il faut aider le cerveau », détaille Maurice Tardif.

Par exemple, au cours d'un discours, un orateur doit parler d'école puis de peinture. Il doit d'abord analyser ce qui représente le mieux ces deux thèmes pour lui, disons un pupitre et la Joconde. Il lui reste à attacher mentalement les images ensemble. Ainsi, pendant son discours, il visualisera Mona Lisa posée sur un pupitre, et ce qu'il devait dire lui reviendra. De la même façon, associer une image à chaque chiffre permet de mieux les mémoriser. « Une fois la méthode assimilée, il suffit d'un peu de pratique pour que cela devienne un réflexe et pour que la mémoire s'améliore. »


De la théorie à la pratique

D'autres formations accordent plus d'importance à la théorie et commencent par une analyse des mécanismes de la mémoire. Chez Demos par exemple, les formateurs expliquent d'abord comment fonctionne le processus de mémorisation et ce qui peut l'aider ou le freiner. Mais dans tous les cas, des exercices sont proposés pour appliquer les astuces délivrées au cours du stage. « Ce sont des formations utiles pour les cadres, les commerciaux, les chefs d'entreprise, les comptables, les secrétaires... En bref tout le monde peut en bénéficier. » D'autant qu'améliorer sa mémoire peut être aussi utile dans la sphère professionnelle que dans la vie privée.

Licence Professionnelle TMBTP


Technologie et Management De Bâtiment et des Travaux Publics


Compétences visées

Ä Gestionnaire d’entreprises BTP ;

Ä Responsable de management de chantiers de BTP ;

Ä Chef de chantiers qualifié de BTP ;

Ä Opérateurs Technique de BET et de laboratoires BTP;

Ä Assistant en ingénierie de BTP;

Ä Directeur de travaux en BTP;

Ä Pilote d’opérations de bâtiment et des travaux publics;

Objectifs de la formation

L’architecture et l’élaboration des programmes de La filière de formation TMBTP (Technologie et Management du Bâtiment et des Travaux Publics) est le fruit des efforts conjugués de l’UCAM de la FSSM et de plusieurs partenaires socioéconomiques et aussi par une étroite collaboration (convention) avec la FNBTP (Fédération Nationale du Bâtiment et des Travaux Publics) .

La finalité de la formation est l’obtention d’un diplôme national de licence professionnelle (Bac+3).

L’objectif et de former des professionnels, des spécialistes, des chefs d’orchestre pour gérer des projets BTP. Les lauréats seront capables d'intervenir et de piloter une opération de construction ou de bâtiment. L’enseignement par alternance Etudes entrecoupées de Stages et une pédagogie par compétence sont mis en oeuvre pour ainsi réussir l’adéquation Formation emploi par une meilleure insertion dans le marché d’emploi.

Modalités

Ä Justifier d’un niveau Bac + 1(En conformité avec le cahier des charges de l’accréditation de la filière TMBTP)

Ä Présélection sur dossier, Sélection après entretien

Ä Sélection sur dossier suivi d’un entretien

Ä Evaluation : contrôle continu, Stage, Projet, projet personnel encadré

Ä Diplôme: Licence Professionnelle: Diplôme National.

Programme

Le programme de la formation comporte des activités pédagogiques sous formes de cours, Travaux Dirigés, Travaux Pratiques, des stages et des projets encadrés et projet professionnel de fin d’études. La formation par alternance permet insertion progressive dans le secteur.

Les objectifs visés par ce programme :

Ä Acquérir des outils de gestion et planification de projet de BTP ;

Ä Développer des compétences en Béton armé, sciences des matériaux, des sciences de l’ingénieur ;…

Ä Appliquer des méthodes de managements et des techniques des procédés de construction.

La formation est étalée sur quatre semestres, et comprend 16 modules :

Semestre S3 (400 heures)

M310 : Mécanique Appliquée ;

M320 : Physique et Chimie Appliquées ;

M330 : Mathématiques Appliquées ;

M340 : Dessin DAO & Topographie Métré .

Semestre S4 (400 heures)

M410 : Techniques & Gestion de Chantier ;

M420 : Géologie appliquée & Matériaux ;

M430 : Sciences de l’ingénieur ;

M440 : Entreprise et Administration.

Semestre S5 (400 heures)

M510 : Procédés Généraux de la construction ;

M520 : Structures du Bâtiment ;

M530 : Essais sur Matériaux et Normes ;

M540 : Systèmes du Bâtiment.

Semestre S6 (400 heures)

M610 : Management du Projet BTP ;

M620 : Infrastructure des Travaux publics

et éléments de Génie civil ;

M630 : Stage encadré et projet professionnel ;

M640 : Projet professionnel de fin d’étude.

Contact

Responsable de la Formation :

Professeur Mohamed Elomari,

Département de physique, Faculté des Sciences Semlalia, B.P : 2390, 40001 Marrakech.

Tél : 212 44 43 46 49 (poste 420)

GSM : 212 62 40 23 90 Fax : 212 44 43 74 10

E-mail :elomari@ucam.ac.ma


TOPOWIN


TOPOWIN is a state-wide register of the German topographic cartographies and of localities with geo references in different coordinate systems. It also is a topographic information system. The topographical maps of different standards can be determined by the entering of known parameters or by the direct selection from overview graphics and from sorted lists.

www.killetsoft.de
www.itshareware.com

Les jardins de la colline, un nom sur mesure pour des villas faites à votre mesure.

A deux pas de Casablanca et dans un cadre verdoyant, s’offre à vous un nouveau projet immobilier réalisé pour combler toutes les envies.


Les jardins de la colline, un nom sur mesure pour des villas faites à votre mesure.

A deux pas de Casablanca et dans un cadre verdoyant, s’offre à vous un nouveau projet immobilier réalisé pour combler toutes les envies.

Vous êtes à la recherche d’un nid douillet, ou la nature et les espaces verts vous entourent de toute part, à la recherche d’un cadre de vie agréable ou le calme est le seul bruit toléré, à la recherche d’un espace de vie ou tout est confort et harmonie. Arrêtez de chercher.

Un nouveau concept architectural, se réalise à quelques kilomètres de Casablanca, dans la petite ville de Tit Mellil.

Que vous soyez un jeune couple ou famille nombreuse, le nouveau projet immobilier « Les Jardins de la Colline » est un concept moderne, innovant et harmonieux, qui devrait satisfaire tous les besoins.

Avec des superficies différentes, Les Jardins de la Colline, vous offre la possibilité de choisir entre les villas de 200m² et 500 m² et qui disposent chacune d’un jardin privé pour le bonheur des petits et grands.

Projet Immobilier Casablanca

Ce n’est pas tout, ce nouveau projet architectural donne également aux acquéreurs la possibilité de choisir des villas semi-finies afin que le rendu final soit à l’image de vos attentes et envies.

Pour que le projet réponde aux exigences de chacun, des équipements de proximité sont à disposition pour faciliter le quotidien des familles et des enfants aussi.

Une crèche sur place et un centre commercial sont un parfait exemple d’équipement de proximité qui devraient charmés plus d’une famille à la recherche d’un cadre de vie original et authentique.

Pour avoir plus d’informations, un seul lien : www.lesjardinsdelacolline.com

Ne perdez pas de temps et aller visiter le site pour avant goût irrésistible.




Article sponsorisé

Buzzef
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2011-03-25

Husa Hoteles rouvrira le Solazur de Tanger la mi-avril

550 MDH investis dans les murs et la rénovation. Outre le balnéaire, l'offre comprend le tourisme d'affaires et gastronomique. L'hôtel qui compte 350 chambres vise un taux d'occupation moyen annuel de 60%.

Husa Hoteles rouvrira le Solazur de Tanger la mi-avril

L’hôtel Solazur, un des plus anciens de Tanger, rouvre ses portes. Les premiers clients du nouveau Solazur de Tanger, qui arbore l’enseigne espagnole Husa, seront accueillis à partir de la mi-avril au terme de travaux de rénovation qui ont duré 18 mois. L’investissement, achat des murs compris, réalisé par le nouveau propriétaire, le holding public d’investissement libyen Lafico, est de 50 millions d’euros (550 MDH). Un montant assez significatif vu que l’immeuble était dans un très mauvais état au moment de son rachat en 2008 à ses propriétaires marocains et saoudiens de l’époque. Classé dans la catégorie 5* par la commission mixte du ministère du tourisme et de l’association hôtelière régionale, l’hôtel compte 350 chambres sur 11 étages, dont un étage de plus de 1 500 m2 dédié aux salles de réunions et d’événements accessibles par un ascenseur extérieur.
Construit au milieu des années 70 dans le style des grands hôtels de tourisme de Torrémolinos ou de Fuengirola (Espagne) par le trio Salah Balafrej, feu Abdeslam Guessous et Abdelhamid El Abbassy, le Solazur, situé au cœur de la corniche de la baie de Tanger, a toujours cherché à occuper un créneau strictement balnéaire de masse et accueillait alors beaucoup de groupes anglais et allemands. Pour son nouveau départ, l’offre sera élargie au tourisme d’affaires et la gastronomie sera diversifiée (cuisine marocaine, mais aussi égyptienne, libanaise et sépharade).

Les lits seront vendus selon le principe du yield management

En outre, le Husa Solazur compte très fortement mettre en avant son offre de salles de réunions avec catering intégré, une offre peu structurée à Tanger. Pour les prochains mois déjà, l’établissement va accueillir une convention internationale des Fromageries Bel du Maroc, un congrès de cardiologie et de chirurgie plastique et une grande réunion des professionnels andalous du tourisme qui vont, à cette occasion, annoncer des offres de packages de la Costa del Sol et de l’Andalousie pour la clientèle marocaine. L’autre grand événement sur lequel Husa Solazur travaille déjà est la célébration, au printemps 2013, du centenaire du Lycée français Regnault.
Ni la conjoncture politique dans la région, ni la crise économique en Europe, encore moins Ramadan qui s’invite en plein août ne perturbent Tarik Hantout qui pilote les opérations marocaines du groupe espagnol Husa qui compte prendre en gérance d’autres hôtels dans le pays (voir encadré). «Nous visons des taux d’occupation supérieurs à 80% en juin et en juillet prochains et de manière réaliste un 25-30% en août. Nous avons un hôtel où les gens pourront venir découvrir de nouvelles choses sur le Maroc et sur Tanger», annonce-t-il. Sur l’année, le Husa Solazur vise un taux d’occupation moyen de 60%.
Pour cela, l’établissement compte se montrer agressif sur le plan commercial et marketing. Fort de son appartenance à un réseau de plus de 170 hôtels situés en Europe, au Maroc et en Argentine, le Husa Solazur commercialisera ses chambres selon la clientèle ciblée (séjours touristiques, week-ends, congrès ou affaires) et le moment choisi pour la réservation. «Les lits sont comme les places d’avion, les prix pourront évoluer plusieurs fois dans la journée», explique Tarik Hantout. C’est ce qu’on appelle du yield management, une technique de tarification flexible également appliquée par les compagnies aériennes et qui consiste à vendre moins cher une place qui de toutes les façons aurait été inoccupée autrement, une manière de participation à la couverture des charges fixes. Outre sa centrale de réservations, le groupe Husa travaille avec de nombreuses centrales de réservations hôtelières dont Booking.com et Lastminute.com.

Fiche technique : Husa Hoteles : 170 hôtels dans le monde

Ce n’est pas seulement à Tanger que Husa Hoteles a posé ses valises. Ce groupe espagnol prendra aussi en gestion des hôtels dans d’autres villes du pays. A Casablanca, il a signé un accord avec le groupe Saham, propriétaire de l’ancien hôtel Holidays Inn devenu Husa Casablanca Plaza. Cet établissement de catégorie 5*, totalement rénové, compte 184 chambres et suites, un sushi bar, un restaurant de cuisine marocaine et méditerranéenne, une piscine et un parking privé.

A Marrakech, Husa construit, en partenariat avec le fonds d’investissement HPartners, dont le tour de table comprend, entre autres, Attijariwafa bank et la Banque Populaire, un hôtel d’un coût total de 22 millions d’euros (240 MDH). La chaîne devrait aussi planter son étendard à Fès.

Husa gère plus de 170 établissements dans le monde, dont une majorité en Espagne, le reste étant réparti entre la Belgique, l’Allemagne, l’Egypte, le Maroc et l’Argentine. Les hôtels sont soit propriété du groupe, soit pris en gérance. Après Barcelo qui compte des hôtels à Casablanca, Saïdia et Marina Smir, c’est le deuxième réseau espagnol à investir le marché hôtelier marocain.


Jamal Amiar. La Vie éco
www.lavieeco.com

2011-03-24

Hausse de 17% du chiffre d'affaires de la Société nationale des autoroutes du Maroc en 2010

Le bilan de l'ADM est passé de 30.985 millions de dirhams (MDH) en 2009 à 38.282 MDH en 2010.


La Société nationale des autoroutes du Maroc (ADM) a annoncé avoir réalisé une "bonne performance commerciale en 2010", marquée essentiellement par une progression du chiffre d'affaires qui s'est établit à 1,6 milliards de dirhams (MMDH), soit une hausse de 17%.

Le bilan de l'ADM est passé de 30.985 millions de dirhams (MDH) en 2009 à 38.282 MDH en 2010, soit une augmentation de 24 pc, a précisé l'ADM dans un communiqué publié à l'issue de son conseil d'administration tenu, mercredi à Rabat, sous la présidence du ministre de l'Equipement et des Transports, M. Karim Ghellab.

La Société explique cette évolution par l'investissement autoroutier qui a atteint près de 7,5 milliards de dirhams (MMDH) en 2010, précise le communiqué.

En outre et conformément aux objectifs stratégiques nationaux, la sécurité de la circulation autoroutière s'est maintenue sur sa tendance baissière, ajoute la même source.

Tous les indicateurs de sécurité de 2010 sont en baisse par rapport à 2009, a relevé l'ADM, notant que malgré la croissance du trafic et le développement du réseau, les taux de blessés graves ont été réduits de 8% et 29%.

"Les résultats réalisés sur autoroute conjugués à ceux obtenus sur le reste du réseau nous confortent dans les choix stratégiques opérés dans la lutte opérationnelle contre les accidents de circulation routière, qui reste une des nos préoccupations majeures", a déclaré à cette occasion M. Ghellab.

En termes de développement du réseau, les événements importants qui ont marqué l'année 2010 sont le lancement officiel par SM le Roi Mohammed VI, le 12 avril dernier, des travaux de l'autoroute Berrchid-Béni Mella et le 29 juin 2010, des travaux d'aménagement d'une aire de repos sur l'autoroute Rabat-Tanger à destination des Marocains résidents à l'étranger (MRE), ainsi que la mise en service par SAR le prince Moulay Rachid, de la section autoroute RN8-Agadir le 21 juin 2010.

Les sections en cours de construction, outre l'élargissement à 3 vois de l'autoroute Casablanca-Rabat, totalisent à fin 2010 un linéaire de 549 Km qui correspondent aux travaux de l'autoroute Fès-Ouja, Berrchid-Béni Mellal et le contournement de Rabat.

En fin, l'exercice 2010 a permis à l'ADM de dégager un excédent brut d'exploitation de 968 millions de dirhams en augmentation de plus de 28 pc par rapport à l'exercice 2009, le résultat financier se soldant tout de même par un déficit de 1.263 millions de dirhams.

L'importance des charges financières qui totalisent plus de 1.823 MDH pèse en définitive sur le résultat de l'exercice en déficit de près de 1.056 MDH, mais qui se présente mieux qui était prévu dans le cadre du contrat programme 2008-205, soit 1.450 MDH.

"Ces résultats traduisent la bonne dynamique des grands chantiers autoroutiers et illustrent les engagements pris à ce titre et que les conditions de poursuite de la construction suivant les plannings convenus sont parfaitement réunies", selon M. Ghellab.

"Cette année 2010 marque un cap majeur dans la vie de la société qui reste un des fers de lance du Royaume en terme de développement infrastructurel, puisque cette année coïncide avec le dépassement du millier de km linéaire des autoroutes en service (1.096 km) et des 20 pc du trafic de véhicules en hors agglomération, ainsi qu'un chiffre d'affaires dépassant le milliards et demi de DH", a ajouté le ministre.




Source : MAP


La Vie éco
www.lavieeco.com

Le Salon International « La Semaine du Bâtiment et des Travaux Publics » dans sa 9ème Edition

Sous le thème “Les marchés se gagnent par la présence accrue sur le terrain” le salon “LA SEMAINE DU BATIMENT” est programmé à :

CASABLANCA 9ème édition : Du 12 Au 15 Mai 2011

TETOUAN 10ème édition : Du 16 Au 19 Juin 2011

Source : www.lesalondubatiment.com

The Atlas of Middle-Earth

Murs de Soutènement - Guide installation et considérations spéciales

Najib Berrada Architecte : Scènes d’Architecture

Projet de Théâtre à Mohammedia

Hôtel Barcelo à Casablanca

Concours d'Architecture Fondation Mohammed VI à Rabat

ASI Aéronautique - Aéroport Mohammed V à Casablanca

Projet SOMACA II à Casablanca

Bâtiment FIAT Auto

Agences BMCI

Agence BMCI Berriched

Agence BMCI Mohammedia

Villa Oasis à Casablanca

La Chine, première puissance manufacturière de la planète

Beijing avait déjà dépassé le Japon en termes de PIB en février dernier. Le Brésil à son tour commence à bousculer certains classements internationaux.


Une étude du cabinet IHS Global Insight publiée cette semaine révèle que pour la première fois, la Chine a dépassé les Etats-Unis en part de production manufacturière en 2010. La Chine, selon IHS Global Insight a contribué pour 19,8% de la production manufacturière mondiale contre 19,4% pour les USA. Ainsi, l’expression de « Chine, usine du monde » trouve désormais sa concrétisation dans les chiffres. A eux deux, les Etats-Unis et la Chine fournissent 40% de la production manufacturière de la planète.

Déjà, les chiffres sur l’économie internationale en 2010 publiée plus tôt cette année donnait la Chine comme 2ème puissance économique mondiale en termes de PIB, dépassant le Japon qui rétrograde à la 3ème place.


Parmi les changements notés dans les classements économiques internationaux pour 2010, des informations publiés plus tôt durant ce mois de mars faisait état du PIB du Brésil désormais supérieur à celui de l’Italie.

Le Brésil a connu en 2010 un taux de croissance économique de 7,5%. Il prend ainsi la 7ème place au palmarès mondial à l’Italie. Le Brésil reste toutefois au 70ème rang sur l’indice de développement humain des Nations unies qui prend en compte des données de pauvreté et d’inégalités sociales.

Ces modifications de multiples classements économiques internationaux sont dans la logique des bouleversements que connait la planète depuis une dizaine d’années. Outre l’émergence de la Chine et du Brésil sur la scène économique mondiale, y figure également celle de pays tel que l’Inde et la Russie, ou encore de la Turquie, de l’Indonésie, de l’Arabie saoudite ou du Mexique, pays qui enregistrent des taux de croissance moyen de 4 à 5% par an depuis 10 ans. Par comparaison, la croissance en Europe reste en moyenne inférieure à 2% par an.

La montée en puissance de la Chine et du Brésil dans le peloton des 10 principales économiques de la planète n’est pas sans effet sur la compétition qu’affichent entre eux ces deux pays.

Le Brésil rejoint le reste des pays occidentaux dans sa critique de la politique de Beijing de maintenir sa monnaie, le Yuan, a un niveau sous-évalué. De son côté, la Chine critique de plus en plus la réticence brésilienne à lui reconnaître un statut d’économie libérale ce qui ouvrirait la porte à certains privilèges commerciaux pour les produits chinois sur le marché brésilien. Pour le Brésil aujourd’hui, la Chine est déjà son premier client et son premier fournisseur. La nouvelle présidente brésilienne Dilma Rousseff doit, à la mi-avril, effectuer sa première visite officielle hors de l’Amérique du sud, à Beijing justement.

Jamal Amiar. La Vie éco
www.lavieeco.com

Guide Méthodologique - Murs de soutènement

« bâtiment flottant »: l’instut du design de Hong Kong

Ouvert depuis la rentrée 2010, l’institut du design de Hong-Kong est une véritable plateforme artistique.
Ce sont des français, Thomas Coldefy et Isabel Van Haute, qui ont imaginé ce projet de 42000 m².

La structure complexe abrite quatre départements relatifs au design – Design, Fashion and Textile, Printing and Digital Media, Multimedia and Internet Technology – ainsi que l’administration, une médiathèque, quatre auditoriums, un café et une salle de sport.

Architecture

3 matériaux caractérisent le projet : le verre, l’acier, et le béton.
Cet assemblage de matières confère un aspect aérien et transparent, mêlé à la solidité du béton et la radicalité de l’acier. Selon les architectes, l’institut
invite «à une réflexion sur la combinaison de situations multiples et opposées : introversion et extraversion, pudeur et exposition, exclusivité et publicité, micro et macro cité, classicisme et expérimentation…»

Quatre tours supportent le bâtiment, et tiennent un imposant volume. Ce volume, flottant dans les airs,comporte des terrains de sport en terrasse, où un parc urbain offre une vue panoramique sur la ville.

Un grand auditorium (capacité 700 places) accueille conférences, séminaires, concert de musique classique ou pop, mais aussi des défilés de mode par exemple.

Fiche technique


projet lauréat du concours en 2006
Maître d’Ouvrage : Vocational Training Council Hong Kong
Maîtres d’œuvre :
- Architecte : CAAU / COLDEFY & ASSOCIES ARCHITECTES URBANISTES
Chefs de projet Thomas Coldefy + Isabel van Haute
Coût : Estimation montant travaux : 78 212 112 € HT
Surface : 42 000 m²
Calendrier : début chantier Octobre 2008 / livraison : Septembre 2010
Inauguration : 25 Novembre 2010

photographies maxime dufour ©     

 
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